Faire un don
Retour

À vous la parole (6 commentaires)

« Un appel se fait entendre au plus profond de mon ❤️. Le montrer par ma vie. Le faire à la manière de Jésus. Place à la Joie, a l.Espérance eT à l'Amour inconditionnelle tout au long des jours humblement et simplement.
»

Répondre

Elisabeth Landry - 05 mai 2024 - 16:51

« Prière :
Seigneur Jésus, aujourd'hui Tu nous dis :
"Comme le Père m'a aimé, moi aussi je vous ai aimés. Comme je vous ai aimés, aimez-vous."
Dans cette cascade d'amour, Tu nous fais une révélation de la plus grande importance, et Tu nous donnes le coeur de Ton message.
Cette cascade d'amour, c'est dans l'infini de Dieu, Ton Père, qu'elle prend sa source et nous rejoint à travers Toi.
Donne-nous d'en être irrigués, pour se savoir aimer, pour avoir Ta joie en nous.
Donne-nous d'en être irrigués, pour savoir aimer les autres concrètement et humblement, au jour le jour, là où nous sommes.
Donne-nous d'en être irrigués, pour l'alimenter cette cascade, et faire venir Ton Règne d'Amour sur la Terre comme ai Ciel;
Seigneur, à l'écoute de Ta Parole, envoie sur nous Ton Esprit." Geneviève.

Se savoir aimés, pour savoir aimer les autres concrètement et humblement, au jour le jour. »

Répondre

Geneviève - 05 mai 2024 - 10:14

« Bonjour,
Que l’Esprit souffle sur le monde.
Que l’Esprit soit accueilli par chacun.
Un dimanche à la gloire de Dieu pour mes frères et sœurs en Christ. »

Répondre

Vincent H - 05 mai 2024 - 7:34

« Même si l’amour est la clef de la vie il passe par la mort… et avant de « ressusciter/s’ouvrir » à une vie nouvelle c’est souvent l’enfer qu’il faut traverser, l’enfer de la lutte contre soi-même perdue d’avance. Pour moi, la Vie ne naît pas, n’est pas née, d’un combat que j’ai gagné mais d’un combat que j’ai perdu contre moi-même et contre les autres, pour devenir contemplation de la « vie donnée en abondance », sous toutes ses formes.
Alors parler d’amour ce n’est pas conter fleurette.
Et oui quand on n’a plus rien, ou plutôt quand on est si épuisée qu’on ne tient plus à rien dans ce monde, pas même à la vie sur terre, on n’a plus peur de rien, ni de la mort, ni de la guerre, ni des jugements des autres ou d’un Dieu. Mais la peur la plus profonde, celle de devoir souffrir encore un peu de temps, plus qu’on ne peut le supporter, rien, pas même un Dieu Amour, ne peut la faire disparaître complètement. Elle est comme l’écharde de Paul, pas le fruit d’une richesse, mais d’une pauvreté indicible, faite de souvenir(s) gravé(s) dans l’être intérieur, qui fait rester vigilant… »

Répondre

IPG - 04 mai 2024 - 18:27

« Merci beaucoup de votre message authentique loin des petites fleurs gentilles que je ressens souvent à la lecture des textes.
Oui je crois que la seule manière d'aimer c'est d'aller jusqu'à l'abandon de soi et d'accepter la traversée du désert.
Merci. »

Therese Molenda - 05 mai 2024 - 8:57

« Bonjour Thérèse,
Merci de votre message.
Attention toutefois à ne pas confondre traversée du désert et traversée de l’enfer.
Pour faire simple même si ce n’est peut-être pas très compréhensible et pas la comparaison « idéale » : le désert est vide, désert, comme son nom l’indique. L’enfer est plein. Après l’enfer, il y a parfois un ou des déserts, plus ou moins arides et plus ou moins longs, froids ou chauds. Et puis parfois il y a comme un désert dans l’enfer, c’est « presque » un havre de paix, si tentant…
Merci. »

IPG - 05 mai 2024 - 10:51

-0:00